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dominique venner - Page 5

  • Le chef-d’œuvre posthume de Dominique Venner...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, une partie de l'équipe de la revue, autour de Patrick Lusinchi, évoque, à l'occasion de la sortie du nouveau numéro, la publication des Carnets rebelles de Dominique Venner... On trouvera sur le plateau, François Bousquet et Romain Petitjean, de l'Institut Iliade.

                             

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  • Carnets rebelles !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier le premier tome des Carnets de Dominique Venner, avec une préface d'Alain de Benoist. Écrivain, journaliste et historien, figure de proue du combat identitaire, Dominique Venner (1935-2013) a publié un grand nombre d’ouvrages, parmi lesquels Le Cœur rebelle (1994), Histoire et tradition des Européens (2002), Le Siècle de 1914 (2006) et Un samouraï d'Occident (Pierre-Guillaume de Roux, 2013).

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    " La portée de la mort volontaire de Dominique Venner, le 21 mai 2013, aura été immense pour tous les « cœurs aventureux ». S’il y a néanmoins une chose que ce sacrifice ne laissait pas présager, c’est que le « samouraï d’Occident » confiait à la postérité un grand nombre de notes manuscrites qui, mises bout à bout, forment un massif de textes impressionnant : ses Carnets. Rédigés quarante années durant, ils sont la dernière pièce de son œuvre, sans aucun doute la plus personnelle : l’enfance sous l’Occupation, l’Algérie, l’engagement à Jeune Nation et la fondation d’Europe-Action, le goût de l’aventure et le sens de l’héroïsme, la passion de l’histoire et la quête des racines, l’attrait des armes et l’amour de la chasse. Une mine d’or biographique et philosophique qui lève le voile sur un personnage hors du commun, à la fois acteur et observateur de son temps. Ce premier volume rassemble la première partie des carnets rédigés entre 1982 et 1990. "

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  • La tradition, remède au nihilisme...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la question de la tradition au travers des essais de Dominique Venner, Histoire et traditions des Européens et Un samouraï d'Occident...

     

                                             

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  • Femmes d'Occident...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur trouvera un dossier de fond consacré au pouvoir et à l'influence des femmes dans l'histoire de l'Occident, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, expositions, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, cinéma, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

     

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    Sommaire :

    L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ

    EXPOSTION

    Autour de Napoléon

    MÉMOIRE DES LIEUX
    Le château de Langeais

    PORTRAIT
    Le lieutenant-colonel Jeanpierre.

    ENTRETIEN
    Alain de Benoist

    DOSSIER
    Femmes d'Occident. Pouvoir et influence (avec des articles de Dominique Venner, Yann Trébaol, Damien Bouet, Jean du Pélem, Jean Thibault, Claude Franc, Diane A. Roger, Christine Delavigne, Olivier Frèrejacques, Adélaïde de la Coume, Paul Villatoux)

    1456 : LE SIÈGE DE BELGRADE
    La grande défaite de Mehmet II

    LES CATHARES
    Une hérésie méconnue

    1947 : LA RÉVOLTE DE NOÉ
    Un camp de l'épuration française

    HISTOIRE POLITIQUE
    L'Union fasciste britannique

    AUTOPSIE D'UNE BATAILLE
    6 août 1870 : la bataille de Woerth

    UN TABLEAU, UNE HISTOIRE
    La mort de César, de Vincenzo Camuccini

    L'HISTOIRE AU CINEMA
    7 films pour 6 femmes

    L'ABOMINABLE HISTOIRE DE FRANCE
    Une chronique iconoclaste de notre Histoire

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  • Grandeur et décadences de l'Europe...

    Les éditions Via Romana viennent de publier Grandeur et décadence de l'Europe, un recueil des éditoriaux de Dominique Venner publiés dans Enquête sur l’histoire puis La Nouvelle Revue d’Histoire, avec une préface d'Olivier Maulin.

    Fondateur et directeur d’Enquête sur l’histoire et de La Nouvelle Revue d’Histoire, Dominique Venner (1935-2013) a notamment publié Dictionnaire amoureux de la chasse (Plon, 2000), Le Siècle de 1914 (Pygmalion, 2006), Les Blancs et les Rouges : histoire de la guerre civile russe (Rocher, 2007), Ernst Jünger (Rocher, 2012), Un Samouraï d’Occident (P.-G. de Roux, 2013) et Le Blanc Soleil des vaincus (Via Romana, 2015).

     

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    " Voici les célèbres éditoriaux de l’historien Dominique Venner  de 1991 à 2013. L’observation aiguë de l’actualité est prétexte à méditer l’éternel retour de l’Histoire, là où à l’imprévu se mêlent volontiers l’ambiguïté des apparences, le mensonge des beaux discours et les retournements de situation. Alors que le débarquement américain de novembre 1942 révèle la mort de la puissance française, l’Afrique du Nord met vingt ans à entériner sa chute… La guerre d’Algérie entraînant par ailleurs des flux migratoires toujours d’actualité. La chute du Mur en 1989 ouvre à nouveau les perspectives d’une alliance avec la Russie, occidentale dès ses origines, pour pallier le jeu américain de division de l’Europe. Déclin de la civilisation européenne, perte des repères, islamisation de nos sociétés, montée du terrorisme, Dominique Venner n’est dupe d’aucun piège de l’Histoire. Convaincu de la vitalité des civilisations, il affirme la nécessité de rester fidèles à nous-mêmes et à l’esprit critique hérité de nos racines. « La culture se rapporte à la permanence des mentalités profondes. Elle est créatrice de sens. […] La tradition est l’âme d’une culture et d’une civilisation. »
       Comment ainsi traiter à la légère le fait religieux qui fonde la civilisation ? On ne peut, quand on aborde le rôle du christianisme, faire l’économie des liens étroits et conflictuels établis au cours des âges entre l’Église et l’État, le Sacerdoce et l’Empire, le Trône et l’Autel.  C’est également parce qu’il porte son regard sur le cycle des empires et des conquêtes que Dominique Venner ne craint pas la mort. « La part romaine de la civilisation européenne avait semblé mourir quand lui fut imposé le christianisme. Mais un regard non convenu repère sa survivance en Occident durant les siècles chrétiens et au-delà. Les révolutionnaires et Napoléon ne se voulaient-ils pas romains jusqu’à la caricature ? » S’il se méfie de l’esprit de système ou des utopies qui engendrent Révolution et Terreur, l’historien appelle à un renouveau spirituel comme en témoigne notamment sa lecture de Jeanne d’Arc, archétype de l’héroïne européenne et de la reconquête qui vient. "

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  • Pour une écologie à l'endroit !...

                                          

     

    Accueil | 2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit

    2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit

    Colloque de l'Institut Iliade

    La nature comme socle,

    pour une écologie à l’endroit

    Samedi 19 septembre 2020 de 10h00 à 18h30
    Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    Programme :

    Ouverture des portes : 9h30
    Début des interventions : 10h00

    Propos introductif : ► Philippe Conrad
    « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié
    L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli
    Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur
    L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni

    Pause méridienne : de 12h30 à 14h00

    La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot
    Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc
    Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella
    L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist
    Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin
    Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou

    Fin des interventions : 18h30
    Fermeture des portes : 19h00

    Ouverture des portes : 9h30
    Début des interventions : 10h00

    Propos introductif : ► Philippe Conrad
    « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié
    L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli
    Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur
    L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni

    Pause méridienne : de 12h30 à 14h00

    La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot
    Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc
    Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella
    L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist
    Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin
    Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou

    Fin des interventions : 18h30
    Fermeture des portes : 19h00

     

    Pour s'inscrire : billetterie

     

                        

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     
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